TRAINING DAY
2ème partie : Contre-choc
Intervalle 5 : -7h11 minutes – L’Ombre de soi
Ridmak tournait dans sa cellule depuis 2 heures et rien n’avait bougé, aucun bruit ne se faisait entendre…Tout semblait
inanimé, pourtant selon lui quelque chose clochait. Le mobilier était clairement neuf et les murs ainsi que le sol étaient propres : cela ne
ressemblait pas aux cellules qu’ils avaient vu avec Samus, bien qu’il était persuadé d’être enfermé dans l’une d’elles. Pris d’un énervement
intense Ridmak se rua sur les barreaux…mais…ses mains se heurtèrent brutalement à un mur, comme si les barreaux étaient encastrés à
l’intérieure. Il toucha cet étrange mur qui était aussi lisse que les autres, les barreaux ainsi que tout le décor situé derrière semblait
peint avec une grande précision. Ce décor était en fait un compartiment de transition entre sa cellule et une autre pièce. Mais le tout était
peint sur un mur...
« On s’y tromperait… » Souffla Ridmak. Il était enfermé entre 4 murs…
Samus se releva lentement, le coup qu’elle avait pris sur la tête lui faisait encore mal, elle était enfermée dans un
salle rectangulaire avec deux porte situées devant et derrière elle. Au milieu de cette salle était placé un bureau tout simple sans rien
dessus ainsi qu’une chaise derrière. La bai vitré situé à sa gauche lui fit comprendre qu’elle était dans une salle d’interrogatoire. Un petit
écran était posté en haut à droite de la porte en face d’elle et elle pu s’apercevoir que c’était elle qu’elle pouvait voir. Elle se rapprocha
lentement, soudain l’écran change et elle vit trois chercheur qui se disputés. Le sons se mit en marche et elle pu entendre se qui se
passait :
« _Que c’est-il passait, demandais un petit chercheur trapu.
_Nous l’avons retrouvé comme ça, il n’avait plus son badge d’accès, répondit un chercheur plus grand.
_C’est un crime, cria un autre plus loin derrière.
_Il a pris une déflagration de Zat-Niktel dans le ventre…
_Qui a bien pu faire ça ? »
Le son s’arrêta d’un seul coup, mais l’image continuait de montrer les chercheurs qui se parlaient, Samus réapparu sur
l’écran. Soudain, la porte s’ouvrit et un Chozo très grand entra. Samus recula pendant que celui-ci entrait puis il s’arrêta et s’assis à la
chaise en face d’elle. Il était habillé en civile et semblait être arrivé ici à la hâte :
« _Bonjour, je suis Jifsus Colapsis, je travail ici en tant que génie des matériaux et j’ai était informé de votre
infiltration.
_Mon acte est…
_Je sais pourquoi vous êtes là, le problème c’est qu’il y a eut un mort.
_Je n’ai pas pu l’éviter…j’ai…j’ai était pris par surprise.
_Vous êtes Samus Aran, décliné sous ne numéro 129805457E. Votre infiltration à pour but la recherche du costume de puissance,
ainsi que le vol de nouvelle technologies…
_C’est pas vrai !
_Taisez-vous ! Votre but à vous est de retrouver le costume de puissance, celui de vos complices était de voler des nouvelles
technologies.
_Le Projet Puissance et en réalité un costume ?
_Bien sûre…Mais le problème n’est pas là. Le mort que nous avons retrouvé n’a pas pu être tué par une de vos armes.
_Mais je viens de vous avouer que j’étais responsable de la mort de ce chercheur.
_Oh mais ce n’est pas d’un chercheur que je parle, c’est d’un de vos complice, il s’appelait Palrok Folminun. Il a était tué
par le tranchant d’une épée très longue…
_Palrok est mort…, Samus baissa la tête.
_En effet et ne nous savons pas comment. Bien que vous y soyez pour quelque chose, mes supérieurs pensent que vous pouvez
nous aider démasquer le coupable. En contre partie vous aurez accès au Projet Puissance, mais uniquement aux dossiers.
_Vous savez pourquoi je suis là, donc dites vous que je ferais tout pour découvrir qui a fait ça. Vous avez dit que Palrok a
été tué part des coups d’épée.
_Très longue…C’est difficile à dire, mais il a été découpé en deux, c’est horrible.
_...L’ombre…souffla Samus.
_Excusez moi ?
_C’est la même personne qui a tué Gorot qui a aussi tué Palrok…Une Ombre, très grande qui possède un épée toute aussi
grande.
_Vous voulez parler…Non c’est impossible.
L’homme se leva de sa chaise et se tourna vers le mur.
_Qui a-t-il, demanda Samus.
_Nous avons eut un problème il y a quelques semaines…Un de nos projets très important à subit une avarie.
_Quel était ce projet ?
_Ce projet portait sur une arme permettant de devenir pure énergie, grâce à elle nous aurions pu terrasser les pirates de
l’espace en envoyant des guerriers constitués de pure énergie.
« Mais qui aurait était assez fou pour donner sa vie, de plus le conseil des maîtres Chozo n’était pas d’accord, « nous
sommes une civilisation pacifique », nous ont-ils dit. Mais le professeur qui dirigeait se projet n’était pas d’accord et il voulait poursuivre
les recherches encore plus loin. Des jours s’écoulèrent et dans le secret il réussit à mettre en œuvre un dispositif permettant d’activer cet
technologie à volonté et donc de s’infiltrer tout en restant dangereux. »
_Je ne comprend pas…
_C’était le professeur Inferno. Le professeur Inferno est devenu un être sans âme, il ne reconnaît plus ni ennemis, ni
alliers…
_Inferno ? Comme le projet Inferno !
_Je crois bien que oui, mais notre plus gros souci et qu’il est ici et qu’il peut être n’importe où et n’importe qui à la
fois.
_Comment l’arrêter ?
_Vous savez Samus, l’Inferno ne peut pas être arrêté par des moyen conventionnels. Il faut désactiver son dispositif de
protection et de pure énergie puis le tuer.
_Le tuer…
_Oui, le faut !
_Nous pourrions le maître en quarantaine, puis le juger devant le conseil Chozo.
_C’est une bonne idée, mais très dangeureuse, et surtout difficile à maître en œuvre. Il faut trouver un moyen de le
capturer.
_Il était captif avant ?
_Oui, nous l’avions mis dans uns salle dépourvue de matière.
_Pardons, une salle sans matière ! Mais de quoi était-il constituée alors ?
_Cette salle, était en fait un vide. Un vide créé par des dizaines d’aimants mis en confrontation les uns avec les autres,
ils émettaient une puissance énorme et se repoussaient tous ensembles, créant ainsi un vide parfait. Nous y avons introduis l’Inferno pour qu’il
soit maîtrisé et qu’il ne puisse pas s’échappé.
_C’est complètement dément. Mais une question me vient. Comment l’avez-vous capturé.
_Nous avons utilisé la ruse. A l’époque il lui resté une infime partie d’humanité en lui. Nous avons demandé à sa fille de
l’attirer dans un piège où nous avion placé des écran aimant. Grâce à elle il s’y ait jeté dans ce piège et nous l’avons eut.
_Est-il possible de le capturer de cette façon à nouveau ? demanda Samus.
Jifsus Colapsis se rassie et la regarda dans le blanc des yeux :
_Sa fille est morte depuis 34 ans… Il est impossible de le capturer grâce à elle et je pense qu’elle aurait refusé.
_Morte ? Mais comment ?
_Elle était âgée de 76 ans, elle est morte de vieillesse.
_Mais alors qu’elle age à le professeur Inferno ? dit Samus en écarquillant les yeux.
_Il devrait être âgé de 104 ans.
_C’est affreux. Samus détourna le regard de Fisfus, puis lui dit : comment comptez vous l’attraper cette fois ?
_Comment VOUS comptez l’attraper…Car c’est votre mission à présent. Vous devez le retrouver et le ramener dans la section
B73 mort ou vif.
_Mais je ne…
_Vous n’avez pas le choix.
Ridmak n’en croit toujours pas ses yeux, il était bel et bien enfermé entre 4 murs. Après avoir analyser avec la plus
grande précision chaque mur, il commença à tourner : « je dois réfléchir…je suis plus intelligent que ça tout de même.. ». Soudain une idée
lui parcouru l’esprit. Il commença alors à toquer sur les mur pour voir si l’un d’eux ne sonnait pas creux. C’est avec un grand sourire qu’il
s’aperçu que le mur situé derrière son lit était en effet creux. Il commença à frapper le lit des poings puis du pied, mais rien n’y fait, le
mur encaissait les coups. Puis avec un ingénieux procédé, il jeta son matelas à terre puis tira son lit vers lui pour le lacer au milieux de sa
cellule. Il le plaça perpendiculairement au mur et au lit. Il monta sur le lit, pris son élan puis sauta vers le mur les deux pieds en avant et
dans un choc sourd le mur creusa un trou et Ridmak retomba sur son matelas. S’évacuant des morceaux de mur tombé sur lui, il crassa l’ouverture
afin de l’agrandir pour pouvoir y passer. Prenant son courage à deux mains, il passa la tête puis tout son corps au travers du mur, il se
trouver dans un salon, en face de lui se trouvait une étagère rempli de livre et à côté un bureau rangé avec une grande précision. Soudain
quelqu’un entra :
« _Bonjour M. Conagan, votre ingéniosité m’étonnera toujours !
La personne se ravança vers la faible lumière du bureau, c’était un Chozo et pas n’importe lequel :
_Maître Kindhal ?
Spaque
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2ème partie : Contre-choc
Fin du chapitre 5
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